Dans la catégorie polar-qui-détend-et-sympathique, si vous n'aimez pas trop vous prendre la tête, je vous conseille ceux de Fred Vargas. Ils ne sont pas tous géniaux, mais certains contiennent des personnages attachants, un peu en décalage avec la réalité, des marginaux comme je nous souhaiterais en croiser plus souvent.
Pars vite et reviens tard
Quatrième de couverture :
On l'a peint soigneusement sur les treize portes d'un immeuble, dans le 18e arrondissement de Paris : un grand 4 noir, inversé, à la base élargie. En dessous, trois lettres : CLT. Le commissaire Adamsberg les photographie, et hésite : simple graffiti ou menace ?
A l'autre bout de la ville, Joss, l'ancien marin breton devenu Crieur de nouvelles est perplexe. Depuis trois semaines, une main glisse à la nuit d'incompréhensibles missives dans sa boîte à message. Un amuseur? Un cinglé? Son ancêtre murmure à son oreille : "Fait gaffe à toi, Joss. Il n'y a pas que du beau dans la tête de l'homme."

Pars vite et reviens tard
Quatrième de couverture :
On l'a peint soigneusement sur les treize portes d'un immeuble, dans le 18e arrondissement de Paris : un grand 4 noir, inversé, à la base élargie. En dessous, trois lettres : CLT. Le commissaire Adamsberg les photographie, et hésite : simple graffiti ou menace ?
A l'autre bout de la ville, Joss, l'ancien marin breton devenu Crieur de nouvelles est perplexe. Depuis trois semaines, une main glisse à la nuit d'incompréhensibles missives dans sa boîte à message. Un amuseur? Un cinglé? Son ancêtre murmure à son oreille : "Fait gaffe à toi, Joss. Il n'y a pas que du beau dans la tête de l'homme."
