par Prométhée Mer 3 Mai - 23:33
Ma première rencontre avec le Jean-Philippe Viret Trio, se fit au milieu du traffic dans ma voiture, par le biais des ondes. La contrainte du surplace provoquait sur moi un certain agacement, qui me fesais zappouiller de stations prè-enregistrées en stations pré-enregistrées. Cette valse hertzienne me mena sur TSF, une station jazz. Alors mon poste ce mis finalement a émettre du "saisissant". L'acharnement compulsif dont été victime ma radio cessa. La musique émise, fit ceder le verrou de ma raideur auditive. Vous l'avez compris, mes oreilles percevées, les premieres vibrations du Jean-Philippe Viret Trio. Pour être plus précis il s'agissait d'A plus d'un titre. J'ai tout de suite été saissi par l'énergie qui émaner du trio. Puis est venu le temps de la séduction qui c'est opéré par le piano. C'est lui qui c'est dabord imposé à moi. Avec plus d'écoute, je dirais que ce morceau se compose d'un jeu subtil entre le piano et la contrebasse qui s'enmelent et se desenmelent, s'unissent et se desunisent, avec autant de suavités que de disonances, d'harmonies que de saccades . La batterie n'est pas en reste, elle est tonique et dévouée, indispensable au morceau.
Lorsqu'il nous est donné de vivre une si belle rencontre, on ne veut pas en resté là. Le lendemain je me rendais acquéreur de "L'Incible", pour le plus grand de mes plaisirs.