que lisez vous en ce moment ?

Dernières lectures en date (en ce moment, je sais pas pour vous mais de mon côté c'est prolifique ):


excellent moment, lu en deux heures grand maximum, le temps d'un café, un livre qui se dévore et fait du bien. Souvent caustique, d'un auteur certainement admiratif de l'oeuvre de Miller.
Je ne regrette vraiment qu'une trentaine de pages dans ce roman, tout le reste me semblant très bon.
Roth frôle l'impudeur et le vulgaire sans y entrer jamais. C'est beau, précis en diable. Roth en profite d'ailleurs pour brosser un portrait de l'Amérique qui fait sourire.

Et des polars d'Henning Mankell , à la chaîne, puisque je compte bien dévorer la série de ce qu'il a écrit dans l'été. Un vrai coup de foudre, pour moi qui n'en ai pas si souvent en littérature.
Je reviendrai vous faire sa promo quand j'aurai fini la série.

Prométhée a écrit:

exeptionelle, faut que j'te le rende !!

Shogun a écrit:

Prométhée a écrit:

exeptionelle, faut que j'te le rende !!

Content de savoir qu'il t'ai plu, pour le reste ce sera l'occassion de nous voir.

Serge Brussolo Le château des poisons


Un policier au Moyen Age.

galeiade a écrit:Serge Brussolo Le château des poisons


Un policier au Moyen Age.

la fin est-elle vraiment travaillée ou tirée par les cheveux dans celui-là ?

j'ai testé "les emmurés" de brussolo, et si j'ai adoré le début, j'ai trouvé la deuxième moitié délirante, trop tiraillée du capillaire.
Il a fait pas mal de polars moyen-âgeux je crois, j'ai une amie qui les adore, faut que je tente, mais j'aimerais bien ton avis à l'occaz'


ici, on poursuit la route chez Mankell, toujours aussi bon

Ici je viens de finir Le champ de personne de Picouly;

très sympa comme livre.

Mara a écrit:

galeiade a écrit:Serge Brussolo Le château des poisons


Un policier au Moyen Age.

la fin est-elle vraiment travaillée ou tirée par les cheveux dans celui-là ?

j'ai testé "les emmurés" de brussolo, et si j'ai adoré le début, j'ai trouvé la deuxième moitié délirante, trop tiraillée du capillaire.
Il a fait pas mal de polars moyen-âgeux je crois, j'ai une amie qui les adore, faut que je tente, mais j'aimerais bien ton avis à l'occaz'

C'est le premier roman que je lis de lui, j'ai été assez surprise par la fin je ne m'yattendais pas

En ce moment je lis les racines du mal de Maurice de Maurice G dantec. Un bon gros pavé de 720 pages. Un excellent thriller.

Andreas Schaltzmann en a la certitude : depuis des années, les nazis et les habitants de Vega se sont installés dans son quartier, et il existe des camps de concentration déguisés en cités de transit, comme les H.L.M. ou Horizontaux Logements Mortels. Pire encore, le complot des Créatures de l’Espace étend ses ramifications destructrices jusqu’aux plus hauts arcanes de l’État. Andreas, qui porte depuis quelque temps une casquette de base-ball afin de se protéger des rayonnements psychiques, n’a qu’une issue : entrer en résistance. Lorsqu’il est arrêté, les spécialistes s’interrogent : est-il vraiment l’auteur de la totalité des crimes qui lui sont attribués ? Est-ce de la science-fiction ou du polar ? Deuxième roman du très controversé Maurice G. Dantec, Les Racines du mal renouvellent astucieusement le thème du serial killer en mélangeant thriller, psychanalyse, sociologie et science-fiction.

Pour la suite j'ai dix-huit heures pour mourrir de Jeffery Deaver

Dans un abattoir désaffecté, au coeur des plaines du Kansas, trois criminels en cavale se sont retranchés, retenant en otages huit écolières sourdes-muettes et leurs enseignantes. Lou Handy, le meneur psychopathe, place très haut ses enchères meurtrières : il abattra une fillette par heure s'il n'obtient pas satisfaction. Pour Arthur Potter, le négociateur dépêché par le FBI, commence le bras de fer le plus éprouvant de sa carrière. Il trouvera une alliée en la personne de Melanie, l'une des enseignantes, atteinte du même handicap que ses élèves : un handicap qui peut aussi constituer un atout, puisque les ravisseurs ne comprennent pas le langage de leurs victimes... Cette course contre la mort, qui met en scène de façon remarquablement sensible et documentée l'univers des sourds-muets, nous mène sans une seconde de répit jusqu'à l'affrontement et au retournement ultimes.

Au fait mara j'ai aussi lu il y a deux trois semaines Shutter Island, excellleeennnntt comme livre, vraiment très bien fait !

Au fait tu as lu l'âme du mal mais c'est une trilogie, il y en a encore deux à lire courage

J'ai eu l'occas de rencontrer Maxime Chattam à une conférence pour son dernier livre , c'est quelqu'un de vraiment très interessant et non pas un écrivain bidon comme Mary higgins Clark par exemple.

Si un jour il vient dans ta ville, n'hésite pas à y aller !

Sinon les deux autres livres : le sang du temps est beaucoup moins violent et l'intrigue est vraiment bien !

Quant au dernier livre c'est encore une fois un autre genre on se situe au passé au présent et dans l'avenir très bien écrit aussi et pas du tout violent <<<<<les arcanes du chaos

Non non je ne suis pas payée par M Chattam pour faire sa publicité mais pour une fois que j'ai trouvé mon auteur préféré

J'ai dévoré les "racines du mal" aussi, vaiment bon, même si les vingt dernières pages ne m'ont pas plu. J'ai dû passer à côté du trip et pas tout comprendre.

galeiade a écrit:Au fait mara j'ai aussi lu il y a deux trois semaines Shutter Island, excellleeennnntt comme livre, vraiment très bien fait !

Lehane reste un bon souvenir même des semaines après la lecture, c'est très bon signe.

tu as lu l'âme du mal mais c'est une trilogie, il y en a encore deux à lire courage

je sais, j'ai une amie qui me semble partager ton gout pour ces bouquins, et au vu de ce que tu dis du second, je tenterai quitte à laisser de côté un temps si je trouve ça trop violent.

J'ai eu l'occas de rencontrer Maxime Chattam à une conférence pour son dernier livre , c'est quelqu'un de vraiment très interessant et non pas un écrivain bidon comme Mary higgins Clark par exemple.

ok, il t'a tapé dans l'oeil quoi...

of course, rien à vior avec higgins clark, dont on peut se demander si c'est pas un énième prête nom pour collectif d'auteurs de polars faciles.
Non, non, il y a des qualités indéniables chez Chattam (c'est construit, cohérent, documenté, et plutôt bien écrit), j'ai juste trouvé ça trop violent pour moi. Cela dit, je n'ai lu qu'un livre de Dantec, mais si je devais rapprocher Chattam de quelque autre auteur, son livre m'a évoqué "les racines du mal".

Si un jour il vient dans ta ville, n'hésite pas à y aller !

arf, je suis plus dans sa région, je vis en Provence depuis une dizaine de jours, enfin !

Sinon les deux autres livres : le sang du temps est beaucoup moins violent et l'intrigue est vraiment bien !

ok, merci, je tenterai et t'en donnerai des nouvelles.

ici, rayon lecture, je viens de finir "mercure" de miss Nothomb (offert pas un pote). C'est l'histoire d'une jeune fille enfermée sur une île, seule avec un vieil homme qui semble la protéger de sa laideur, de son passé. Un jour une infirmière débarque car la jeune fille est tombée malade. Un trio s'instaure, et c'est parti pour les débats sur la beauté, la lecture, l'enfermement, ce qu'est aimer, etc. Un peu polar sur les bords.

Ca se lit mais sans plus, rien de vraiment palpitant, de vraiment follement neuf. Aucun goût de reviens-y.
J'aime bien le personnage Nothomb, j'ai aimé "stupeur et tremblement" et "métaphysique des tubes", mais pas trop ses romans non autobiographiques. Ce n'est pas mauvais mais je ne suis pas convaincue par la propension romanesque de la demoiselle à employer toutes les ficelles que l'on étudie en fac de lettres. C'est construit, recherché, mais un peu trop propre. Ses romans autobiographiques, on les sent écrits avec les trippes, le reste me semble franchement trop universitaire propret (sans méchanceté).

en cours : reprise de l'"histoire de la folie à l'âge classique" de Foucault. Une mine d'érudition, de plus très bien écrit, ce qui ne gâte rien. Vraiment le genre de livre qui fait du bien quand on en veut aux philosophes, ça réconcilie un peu. Sous couvert d'une Histoire de la folie, Foucault s'interroge, tantôt en sociologue, tantôt en spécialiste de l'art, ou en historien-philosophe sur la place accordée au fou dans la société pour en proposer une relecture éclairée par l'évolution de 1100 à nos jours. Une merveille !

"le chien couchant" de Françoise Sagan, auteur que je n'avais jamais testé et dont le livre m'a beaucoup plu. Le style n'est pas faramineusement éblouissant, mais l'histoire est intéressante. A noter : ce livre a donné lieu à une interdiction de vente car il a été déclaré plagié d'après ce que j'ai compris. Je compte me procurer la nouvelle dont il "s'inspire" et faire une comparaison.

Après le vraiment pas terrible "Vieil homme et la mer" d'Hemingway (auteur qui pourtant a pondu un chef-d'oeuvre à bien des égards à mon humble avis avec "pour qui sonne le glas" - y'a des fans dans le coin ? )...



pas mal, mais en survol, car ce livre contient des longueurs. En VO ça doit valoir son pesant de doublesons. En VF, le style journalistique très détaillé est un peu lassant. Il y a en outre pas mal de répétitions. J'attaque la dernière partie, pas mécontente de cette lecture tout de même.

Le film "Truman Capote" donne une bonne idée du livre, sauf qu'ici l'auteur est absent, complètement, et qu'on ne peut que deviner ce qu'il lui a fallu faire pour avoir tant de renseignements. Un bon complément pour ceux qui auraient aimé le film...

ola,

J'ai arreté de lire les Racines du mal de G Dantec, trop bordélique à mon gôut, je ne comprends pas où veut en venir l'auteur....

PS. : Mara le livre est très violent notamment au début


J'ai bientot terminé 18 heures pour mourir, j'ai l'impression de lire le scénario d'un film. Je n'ai pas d'avis tranché sur le livre pour l'instant mais les ersonnages sont interessants.

Le prochain livre : le sang des anges de Michael Marshall.

Je pense aussi que je vais commencé à continuer à lire les Amélie Nothomb. Le dernier à l'air sympa même si la critique ne suit pas ....mais bon la critique est toujours personnelle !

Mara a écrit:Après le vraiment pas terrible "Vieil homme et la mer" d'Hemingway

J'ai pas accroché

galeiade a écrit:

Mara a écrit:Après le vraiment pas terrible "Vieil homme et la mer" d'Hemingway

J'ai pas accroché

tu m'étonnes, lui, en tout cas, il est bien accroché... et ça n'en finit guère... c'est long, mais long...


ici, "l'existentialisme est un humanisme", faut bien essayer 12C4.
pas inintéressant mais pas transcendant non plus. Bon pour vérifier qu'il reste des neurones dans votre cerveau, mais sans plus.

galeiade a écrit:ola,

J'ai arreté de lire les Racines du mal de G Dantec, trop bordélique à mon gôut, je ne comprends pas où veut en venir l'auteur....

PS. : Mara le livre est très violent notamment au début

oui, mais aussi haletant de mon point de vue que Chattam, si ce n'est plus.
Ca reste pas facile de s'ne remettre, je te l'accorde.

J'ai bientot terminé 18 heures pour mourir, j'ai l'impression de lire le scénario d'un film. Je n'ai pas d'avis tranché sur le livre pour l'instant mais les ersonnages sont interessants.

je connais pas, je vais me renseigner. ni le livre ni le film...

Je pense aussi que je vais commencé à continuer à lire les Amélie Nothomb. Le dernier à l'air sympa même si la critique ne suit pas ....mais bon la critique est toujours personnelle !

ouais, la critique...
tu les aime tous, toi, les Nothomb ???

Mara a écrit:
ouais, la critique...
tu les aime tous, toi, les Nothomb ???

J'en ai lu qu'un pour l'instant, Acide sulfurique m'a vraiment enormement plu et c'est pour çà que j'ai peur de lire les autres, car j'ai peur d'être déçue

[quote="Mara"][quote="galeiade"]

J'ai bientot terminé 18 heures pour mourir, j'ai l'impression de lire le scénario d'un film. Je n'ai pas d'avis tranché sur le livre pour l'instant mais les ersonnages sont interessants.

je connais pas, je vais me renseigner. ni le livre ni le film...

Il n'existe pas de film tiré de ce livre, mais le livre, le texte, m'a fait pensé à un scénario de film, c'est comme si l'auteur l'a écrit pour qu'il soit adaptable au cinéma !

galeiade a écrit:

J'ai bientot terminé 18 heures pour mourir, j'ai l'impression de lire le scénario d'un film. Je n'ai pas d'avis tranché sur le livre pour l'instant mais les ersonnages sont interessants.

je connais pas, je vais me renseigner. ni le livre ni le film...

Il n'existe pas de film tiré de ce livre, mais le livre, le texte, m'a fait pensé à un scénario de film, c'est comme si l'auteur l'a écrit pour qu'il soit adaptable au cinéma !

coucou toi

T'as bu Ga' ???? je pense qu'on a un léger souci de smiley...

merci de tes précisions, je n'avais pas entravé grand chose, au temps pour moi.

ici, hier un énième Mankell (Ga', je te les recommande très chaudement ces polars ), "l'Homme qui souriait", moins bon que d'autres mais dévoré tout de même.

aujourd'hui, "Sotos" de Djian. Autant ses nouvelles m'avaient peu convaincue, autant ce roman est plutôt envoûtant (le premier tiers est même passionnant). La prose à vocation erotique n'est peut-être pas toujours très à la hauteur de la réputation du monsieur, mais l'intrigue, la construction et les personnages sont vraiment intéressants. quelques citations pas piquées des hannetons, le zig' a des pointes de style enviables, et le souffle narratif qui l'accompagne.
Les mêmes obsessions, encore et toujours, de la mère nymphomane ou du moins peu "fixée en mariage", au fils de bonne famille qui étouffe, jusqu'au cocktail vent-drogue-chaleur-incendie-sang bouillonnant... et j'en passe.

quatrième de couverture :

Entrer dans la vie, c'est entrer dans l'arène. On est jeune, plein de feu, et on croit la vie à ses pieds. Très vite, on découvre que ce qui va se passer est un peu plus compliqué qu'il n'y paraissait. Que les châtiments successifs débouchent sur l'inéluctable mise à mort. Sous la lumière brutale d'un immense Sud hispanique, trois hommes font brutalement l'apprentissage de la vie : Mani, fils sans père, dans toute la fougue de ses dix-huit ans, cherche une direction, un chemin : Vito, père sans fils, confronté à la quarantaine, cherche à revenir dans les pas qu'il s'est tracés : Victor Sarramanga, vieux solitaire farouche qui règne sur l'espace et les gens, cherche à régler ses ultimes comptes. Le premier va subir les premières piques, le second recevoir les banderilles, le dernier rencontrer son heure de vérité. Et tout vivront le manque amer de ce que l'on veut de toutes ses forces et qui ne vient jamais quand et comme on l'attend. Ainsi de ces femmes que l'on désire trop fort. Et qui se livrent trop vite, trop mal. Et tandis que les Sotos, ces petits démons qui vivent aplatis comme des galettes entre le bois et l'écorce et qu'on entend crier quand les troncs grincent et craquent à la tombée du jour, vibrent sous la tension électrique des orages, les personnages s'affrontent dans la fulgurance des passions et des pulsions. Jusqu'à ce que le feu les dévore et mette chacun, survivant ou mort, en paix armée avec lui-même.

A travers les tribulations d’Agastya, un jeune Bengali lettré, parachuté dans l’administration d’une province rurale, Upamanyu Chatterjee évoque avec cocasserie les difficultés de l’Inde d’aujourd’hui : son identité, mais aussi les tabous sexuels, les contradictions entre tradition et modernité, le choc entre Orient et Occident…

Je ne connais pas dut tout cet auteur!!
Il faut que je lise ce livre.
Il me semble en avoir entendu parlé.
Merci Prométhée.

Dans les années 50, Lizzie, jeune prostituée américaine, témoin du meurtre d'un homme noir, est confrontée à l'idéologie ségrégationniste alors encore en pratique dans le sud des Etats-Unis.

Monsieur le député de Sciascia.

Je viens de finir cette pièce de théâtre et j'ai adoré. Une belle entrée dans l'univers de Sciascia, qui donne vraiment envie de poursuivre l'exploration.
résumé : Un homme entre en députation comme on renie ses idéaux.

Sur ce thème, Sciascia a brodé une pièce concise autant qu'acerbe. Il la fait avec brio, et j'aimerais vraiment voir cette pièce sur les planches. La corruption, jamais vraiment nommée, est pourtant un des personnages principaux de la pièce. Réflexion politique, humour, réflexion sur le sens de l'engagement, de la vie, c'est une pièce dense en peu de pages. Sciascia s'y montre en outre lecteur avisé puisqu'il fait citer "la vie est un songe" de Caldéron à l'un de ses personnages en parvenant même à nous donner un angle de lecture possible de cette autre oeuvre théâtrale majeure.

Il m'a donné envie de me plonger dans "Don Quichotte" !

Merci beaucoup de ce prêt et de ce conseil

Mara a écrit:Monsieur le député de Sciascia.

Je viens de finir cette pièce de théâtre et j'ai adoré. Une belle entrée dans l'univers de Sciascia, qui donne vraiment envie de poursuivre l'exploration.
résumé : Un homme entre en députation comme on renie ses idéaux.

Sur ce thème, Sciascia a brodé une pièce concise autant qu'acerbe. Il la fait avec brio, et j'aimerais vraiment voir cette pièce sur les planches. La corruption, jamais vraiment nommée, est pourtant un des personnages principaux de la pièce. Réflexion politique, humour, réflexion sur le sens de l'engagement, de la vie, c'est une pièce dense en peu de pages. Sciascia s'y montre en outre lecteur avisé puisqu'il fait citer "la vie est un songe" de Caldéron à l'un de ses personnages en parvenant même à nous donner un angle de lecture possible de cette autre oeuvre théâtrale majeure.

Il m'a donné envie de me plonger dans "Don Quichotte" !

Merci beaucoup de ce prêt et de ce conseil

Je suis content de savoir que tu es appréciée Mr le Député, c'est une première rencontre peu conventionnelle avec Sciascia, mais qui finalement aura été judicieuse. Maintenant la second oeuvre que tu aborderas aura la tache difficile de devoir repondre à l'enthousiasme généré par la première rencontre, et la tache sera ardu, mais j'y crois.

Prométhée a écrit:Maintenant la second oeuvre que tu aborderas aura la tache difficile de devoir repondre à l'enthousiasme généré par la première rencontre, et la tache sera ardu, mais j'y crois.

Désolée de cette tardive réponse.
J'ai lu il y a un moment déjà le recueil de "la mer couleur de vin", et en effet, l'ouvrage a répondu aux attentes .
J'apprécie en général les nouvelles quand le recueil est savamment composé, ce qui est le cas ici, c'est ecclectique, fin, toujours surprenant, d'une diversité de ton qui fait vraiment frétiller le neurone. J'adore le genre de la nouvelle, et j'ai vraiment apprécié ce recueil. Certaines nouvelles contiennent des chutes très inattendues, à la limite du burlesque, d'autres sont plus en demi-teinte, mélancoliques ou grinçantes. Bref, un très bon choix m'sieur Prom'.