oui, Lifesobeautiful, ma compagne etant japonaise, et du fait que je parle parfaitement portugais, anglais et que je me demerde en espagnol, j'ai tendance a sympatiser plus avec les etranger qu'avec les français, surtout que la communication avec ses derniers est asser dificile par raport aux etrangers ... du fait meme qu'ils soient franchouille héhé
so, Calle Alegria, rien d'interressant, l'atrium exterieur du batiment offre quelques place enseoleillé et la sangria faite maison coule bien. Vers 20 heure nous nous dirigeons vers la salle, et vers des place qui n'offre qu'une visibilité tres reduite ... casiment deriere la chanteuse tout au font a gauche comme dirais certain. Concha Buika, ou Buika en france, apparais apres son pianiste, tres relax, et sous un tonnere d'aplodissement. elle prend le micro de sa voix rauque et s'excuse en français ... de ne par parler un mot de français, heureusement tout les espianique de la salle, dans un elan commun lui dise, "se puede hablar español, mira, nos tembien hablamos tu lingua" ou qulque chose dans le genre. sympa, le publique, c'etai pourtant pas gagner, les lyonnais font souvent honneur a leur reputation de gens froids... (ce qui rend la vie ici asser desagreable, soit dit en passant).
Madame Buika, est equato guinnene, Concha est le diminutif de Maria conception. Les espanols sont toujours tres inventifs avec leurs diminutif (Paco = Frederico). Elle née en 1972 a palma de majorque (canaries) et granit la bas ... elle commence a chanter le flamenco vers l'age de 15 ans puis elle decouvre les Lamentos. Paralellement elle se nourie beaucoup de Jazz et de Soul music. Elle revendique n'etre ni gadji, ni gitane, ni espanol, sa voix porte autant vers l'encienne colonie espanol que fut la guinnée inspirée par les musique traditionelle africainnes qui bercais son enfance que les sillons des disques d'edith Piaf de sa mere ou les Lamento, ces murmures qui suaintes les rues des quartiers pourris de palma.
Sur scenne, elle arbore une creniere de lox, qui lui tombres sur le haut des reins, une robe blanche typique des canaries qu'elle dissimule sous un chale rouge vif ... Les couleurs de ses vetements caresses ses sombre pomettes et son regard d'aciers ... elle pointe du doigt en silence le publique tout aussi muet, le pianiste commence a jouer. Il y a aussi un percussionite, cacher la bas tout au fond qui carresse doucement sa ****. les deux hommes commence a enerver un peu la musique et Buika interviens ... incroyale, un tonnerre vocal, un precision toute hispanique, plus dans le corps et le timbre.
a suivre
un extrait d'un concert en espanha
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