Tu connais la fameuse réplique de Churchill ? Un journaliste l'interroge et lui demande quel est le secret de sa longévité à plus de 90 ans...
Winston Churchill lui répond cette fameuse boutade qui est devenue célèbre :
« Je dois ma longévité à deux choses, le whisky et le sport : le whisky, parce que j'en ai bu pas mal
et le sport parce que je n'en ai jamais fait ! » Winston Churchill
Allez trève de plaisanterie, si la dernière phrase peut apporter de l'eau au moulin de tes parents, je vais quand même en apporter au tien. Je ne sais plus du tout qui disait :
FAITES DU SPORT, VOUS NE VIVREZ PAS PLUS VIEUX, MAIS VOUS VIVREZ PLUS JEUNE!
Et puis dernier argument et non le moindre... Lorsque nous faisons du sport, nous libérons les fameuses hormones du bien être : les endorphines. Ce n'est donc pas un hasard si l'on se sent bien, détendu, fort, épanoui après avoir dépensé beaucoup d'énergie...
Je cours en moyenne une heure une fois par semaine, et j'atteinds presque le nirvana après ma séance de sport. D'un autre côté, je crois que ta dépendance au sport s'explique justement par ces endorphines, ces hormones secrétées par le cerveau qui à l'instar de la morphine, joue un rôle anti-douleur sur le corps... Pour mieux te faire comprendre ce phénomène dont tu es victime, permet-moi de faire un copié-collé :
" Les endorphines : un aspect nouveau des changements hormonaux provoqués par le sport a été mis en évidence au début des années quatre-vingts avec la découverte des endorphines. Il s'agit d'hormones sécrétées par le cerveau, dont le nom évoque la morphine parce qu'elles auraient un rôle anti-douleur et parce qu'elles induiraient, comme la véritable morphine, un phénomène de dépendance.Ces endorphines expliqueraient par exemple pourquoi le sportif de haut niveau supporte facilement la douleur au cours de l'exercice, et pourquoi l'exigence d'entraînement est une véritable toxicomanie : les sportifs surentraînés ont souvent un besoin irrépressible de faire du sport, avec une escalade fréquente dans la " dose " qu'ils s'octroient chaque jour. En fait, il y aurait une véritable dépendance au sport due à l'endorphine, qui obligerait le sportif à rechercher jour après jour l'état dans lequel il peut obtenir la meilleure sécrétion de cette hormone cérébrale. "
Donc Lucie, je crois que tu te drogues au sport...